Le parc Rosemont complètement transformé
Renouvelé, accessible et inclusif, le parc Rosemont « s’est transformé en un espace de détente et de rencontre où la nature et l’innovation se mélangent dans une parfaite harmonie », affirme l’arrondissement de Rosemont–La Petite Patrie par voie de communiqué. Avec son boisé urbain et ses aménagements de gestion des eaux de ruissellement, le parc situé à l’angle des rues D’Iberville et Dandurand s’inscrit au cœur de la stratégie de transition écologique de l’Arrondissement ajoute l’administration municipale.
Ainsi, c’est dans une ambiance festive que les membres du conseil de l’Arrondissement ont inauguré le 28 août ce nouvel espace de nature urbaine « réalisé dans le respect des principes du développement durable et de la biodiversité. »
« Nos parcs sont désormais des infrastructures écologiques, des parcs résilients qui absorbent l’excès d’eau et réduisent les risques d’inondation. Les aménagements écologiques du parc Rosemont s’inscrivent parfaitement dans cette approche et contribuent à réduire les impacts des changements climatiques. J’invite le voisinage, mais également tous les Montréalais et Montréalaises à le découvrir et à se l’approprier », a précisé le maire de RPP, François Limoges.
Un concept d’aménagement en trois parties
Le concept d’aménagement du parc Rosemont se divise en trois sections, reliées par un sentier :
- La Place, qui offre une interface améliorée entre le domaine public et le parc;
- La Clairière, au centre du parc, qui dispose d’une grande surface en trèfle réservée au jeu et à la détente. On y trouve des modules de jeux en bois, des tables à pique-nique, des chaises longues mais également des jeux d’eau, une rivière sèche, un jardin de pluie de même qu’un sentier de ceinture qui sera transformé en anneau de glace durant la saison hivernale;
- Le Boisé urbain, où ont été plantés plus de 500 arbres en 2021, qui contribue au verdissement, à la biodiversité et au développement d’une canopée diversifiée créant un nouvel écosystème naturel où la faune, la flore et l’humain cohabitent.