Le Port de Montréal s’engage à protéger des espèces en péril
À travers sa volonté de réaffirmer et renforcer son engagement pour la protection de la nature, le Port de Montréal a annoncé une contribution à hauteur de 50 000 $ au Fonds Espèces en péril, une initiative de la Fondation Espace pour la vie.
Créé afin d’accélérer les travaux de conservation et de recherche sur les espèces en péril, ce Fonds permettra de financer des projets de recherche ciblés autour de plusieurs espèces végétales et animales présentes dans l’écosystème naturel de la grande région de Montréal : le chevalier cuivré, le monarque, la rainette faux-grillon, la tortue des bois et l’ail des bois. Ces projets permettront d’améliorer les connaissances scientifiques dans le but d’évaluer, de planifier et de mettre en place des mesures de protection.
La contribution s’inscrit dans le sillage de la vision et des actions concrètes au service du développement durable déployées depuis plus de 20 ans par l’Administration portuaire de Montréal (APM). Au fil des ans, celle-ci a notamment tissé des partenariats internationaux et mis en place des projets visant la protection de l’environnement et de la biodiversité, la réduction de son empreinte carbone, la saine gestion de ses actifs et l’intégration harmonieuse de ceux-ci dans le tissu urbain.
« L’Administration portuaire de Montréal est fière d’être parmi les premiers contributeurs à ce fonds de recherche sur les espèces en péril. Le fleuve Saint-Laurent est évidemment essentiel aux activités portuaires, mais c’est aussi un écosystème complexe qui abrite certaines espèces menacées, et sur lesquelles il existe un vide scientifique appuyé par des données contemporaines. Nous espérons, par cette contribution au Fonds, laisser un legs aux générations futures et avoir l’occasion de collaborer au maintien de la biodiversité, notamment dans ce milieu de vie fragile », indique Daniel Dagenais, vice-président à la performance portuaire et développement durable de l’APM.